NOS ACTIONS

Au Mali, à Ségou, nous aidons des enfants de familles très pauvres à aller à l’école jusqu’à l’université. Nous y avons également créé une école pour enfants aveugles. Nous aidons des jeunes à suivre une formation professionnelle : métiers du bâtiment, métiers de la santé, couture.

L’école maternelle

Année après année à Ségou, nous sommes surpris par les difficultés de beaucoup de Maliens à appréhender leur environnement, quel que soit leur âge. Ils ont du mal à se situer dans le temps, vivant le jour présent et le lendemain, sans chercher à planifier les tâches. La lecture de plans ou de cartes géographiques leur est difficile.

Ces troubles s’observent surtout dans les familles pauvres dont les parents ne savent ni lire ni écrire.

Avec le temps, il nous est apparu évident que la cause de ces handicaps réside dans l’absence de jeux éducatifs.

Les bibliothèques

En 2010, un don exceptionnellement généreux  permis de construire quatre bibliothèques dans quatre écoles de la ville :

  • Hamdallaye
  • Anita A
  • Hampâté Ba
  • Pelengana marché

Une grande collecte a permis d’envoyer 2 500 livres. Le plaisir de la lecture a été partagé entre les élèves, les habitants du quartier et les étudiants qui y ont trouvé de la documentation pour leurs études.

L’école des aveugles

L’école des jeunes aveugles de SÉGOU (IRJAS – Institut Régional des jeunes aveugles de Ségou), a été construite en 2011 par la Fondation Leïla Fodil grâce à un don particulier.


Elle se situe dans une école publique de la Ville. Les enfants aveugles côtoient ainsi les enfants clair voyants pendant les récréations.

Des maîtres de l’Education Nationale du Mali ont été affectés à cette école. Elle a été dotée de matériel simple et de deux machines à écrire Perkins.

Le Centre Vincenta Maria

Le Centre Vincenta Maria, administré par les soeurs de la congrégation Vincenta Maria de Ségou forme des infirmières et des couturières pour leur permettre d’accéder à l’indépendant en exerçant un métier.

Il forme chaque année une dizaine de femmes dans chaque filière. A la fin de chaque année la Fondation leur remet du matériel de couture ou de médecine pour qu’elles puissent s’installer plus facilement et commencer leur activité.

Le Centre Agro Pastoral

Le Centre Agro Pastoral est une belle école privée, construite par Daouda KANE  pharmacien de Ségou, ouverte en 1999. Elle reçoit des élèves libres et des élèves « orientés » par l’Etat qui paye une pension de 35 000 Cfa par trimestre. Ils sont recrutés après le DEF.

Depuis 2011, la Fondation y a placé 30 élèves, recrutés selon les critères de revenus communs à tous les recrutements de la Fondation.

Le CPT

Le Centre de Perfectionnement Technique (CPT), qui donne des formations en alternance centrées sur la pratique. 

Les formations proposées dans le centre sont la maçonnerie, la peinture, la plomberie, le carrelage, la teinture, l’électricité, le solaire photo voltaïque, le froid climatisation. 

Ces formations modulaires s’adressent à des jeunes sans qualification ayant pour la plupart échoué dans la scolarisation classique.

En 2017-2018, la fondation Leïla Fodil soutient 6 enfants en maternelle, 261 enfants à l’école primaire, 75 collégiens et lycéens en second cycle ainsi que 7 étudiants à l’Université. Découvrez ici ce que fait la Fondation pour soutenir ces jeunes et les aider à démarrer du bon pied dans leur vie.


La pauvreté entraine l’ignorance. Le savoir la vaincra.

Au fil des visites à Ségou, nous sommes surpris par les difficultés de beaucoup de Maliens à appréhender leur environnement, quel que soit leur âge. Ils ont du mal à se situer dans le temps, vivant le jour présent et le lendemain, sans chercher à planifier les tâches. La lecture de plans ou de cartes géographiques leur est difficile. Ces troubles s’observent surtout dans les familles pauvres dont les parents ne savent ni lire ni écrire.


Avec le temps, il nous est apparu évident que la cause de ces handicaps réside dans l’absence de jeux éducatifs. Vous savez, les cubes à rentrer dans un carré, les pyramides dans un triangle, etc. ou bien le Memory, ou les dominos. Les enfants des familles riches peuvent disposer de jeux, de moyens éducatifs permettant de développer le sens des volumes, du temps, de l’espace. Chez les pauvres, ces jeux n’existent pas. Et lorsque la scolarisation commence, au primaire, le temps n’est plus aux jeux. Les pauvres n’ont pas acquis les bases du temps, de l’espace et des chiffres et lettres.


Il y a quatre ans, faisant la même analyse, Djeneba Keita, fille d’Abdoulaye, et ses amies de France ont créé une école maternelle. L’école maternelle « Les anges » fonctionne comme une école maternelle européenne : peu d’élèves par classe, des monitrices formées à ce travail, associant les jeux éducatifs individuels et collectifs à l’ébauche de l’apprentissage de la lecture et de l’écriture.


Nous y avons placé des enfants nés dans des familles démunies. L’expérience commencée en 2015 a été concluante. Le premier enfant ayant suivi trois années de maternelle est passé en premier cycle au CP en 2018. Il est le premier de sa classe, le plus éveillé et le plus attentif. En 2018-2019, quatre enfants sont sortis de cette école maternelle, ce fut une démonstration éclatante. Nous continuons à scolariser le plus possible d’enfants en maternelle pour leur permettre d’appréhender plus facilement le monde qui les entoure.

En 2010, un don exceptionnellement généreux permis de construire quatre (4) bibliothèques dans quatre écoles de la ville :

  • Hamdallaye
  • Anita A
  • Hampâté Ba
  • Pelengana marché


Une grande collecte a permis d’envoyer 2 500 livres. Le plaisir de la lecture a été partagé entre les élèves, les habitants du quartier et les étudiants qui y ont trouvé de la documentation pour leurs études.

Les élèves et les professeurs de l’école en 2012

L’école des jeunes aveugles de SÉGOU (IRJAS – Institut Régional des jeunes aveugles de Ségou), a été construite en 2011 par la Fondation Leïla Fodil grâce à un don particulier. Ces enfants étaient précedemment exclus de l’enseignement par manque de financement et de cours adaptés à leur situation.
Elle se situe dans une école publique de la Ville. Les enfants aveugles côtoient ainsi les enfants clair voyants pendant les récréations. Des maîtres de l’Education Nationale du Mali ont été affectés à cette école. Elle a été dotée de matériel simple et de deux machines à écrire Perkins.


Elle accueille 24 jeunes de milieux économiques très défavorisés pour la scolarisation. Ces jeunes aveugles étaient pour la plupart d’entre eux isolés dans la maison de leur famille ou bien envoyés en mendicité dans les rues de la ville. Les élèves sont transportés par des moto taxis. Ils reçoivent à midi un repas confectionné pour eux par une cuisinière. Ils reçoivent une bourse de vie mensuelle de 7 000 francs CFA, qui permet de soulager la famille. Tous enfant a le droit à l’éducation et la Fondation s’assure que toutes et tous puissent effectivement exercer ce droit dans des conditions dignes.


En 2018-2019, quatre d’entre eux ont réussi l’examen du DEF (Diplôme d’Etudes Fondamentales) et sont partis au lycée de l’UMAV (Union Malienne des Aveugles) à Bamako.
En mars 2019, une convention a été établie avec la Fondation LUCIE CARE À Bordeaux, qui a accordé à la Fondation Leïla Fodil une subvention annuelle de 9 000 €.


Avec la bourse mensuelle, la scolarisation d’un élève aveugle coûte 416€ par an et dure 6 ans. Pour aider ces enfants et plus encore, faites un don !

Quarante trois pour cent des Maliens vivent avec des ressources inférieures au seuil de pauvreté. À Ségou, les pauvres sont très nombreux. Chaque jour, le chef de famille doit chercher ce qu’il pourra donner à manger à ses enfants. Les garçons et les filles issus de familles défavorisées, sont sans espoir.

La Fondation Leïla Fodil leur propose une aide pour suivre des formations professionnelles qualifiantes qui leur permettront d’exercer un métier rémunérateur. Pendant l’année 2017-2018, nous avons pu aider 15 élèves dans des formations professionnelles du Centre de Perfectionnement Technique (CPT) : métiers du bâtiment et teinture.

La fondation Leila Fodil paie leurs frais de scolarité, leur donne une bourse de vie de 7000 CFA par mois et surveille le bon déroulement de leurs études.

Coupure de tôles au CETI

Entre 1996 et 2016, nous avons placé des étudiants au CETI (Centre d’Enseignement Technique Industriel). Cet établissement avait été créé par Monsieur Ladji Gakou. Il proposait des formations en maçonnerie, électricité, gestion, métallerie, mécanique auto, selon des modules définis par l’Etat Malien et donnant la possibilité d’obtenir un diplôme officiel. Environ 115 garçons et filles ont suivi ces formations. La Fondation payait leurs frais de scolarité et leur donnait une bourse de vie mensuelle de 7 000Cfa (10,7€).


Une coopération avec le Rotary club de Bourges a permis d’envoyer une grande quantité de matériel technique. L’aide de la Fondation a visé aussi la formation des enseignants.


En 1997, Monsieur Gakou a bénéficié d’un stage à Angoulême, à l’IUT et l’association ACII dirigée par l’Usine Leroy Somer.


En 2007, Daniel Jacques, technicien en métallerie a passé trois semaines au CETI pour perfectionner les élèves en soudure.
La même année, Mamedi Gakou, oncle de Ladji, est venu à Angoulême pour se perfectionner en comptabilité-gestion. Sa formation a duré quatre ans.


En 2016, l’Etat a racheté l’école, qui n’a plus accepté de nouveaux élèves « libres » comme ceux de la Fondation, tout en laissant les présents (31) suivre le cours de leurs études sans frais. Nos derniers élèves ont terminé leurs études en 2018-2019.

Les vaches du centre

Le Centre Agro Pastoral est une belle école privée, construite par Daouda KANE pharmacien de Ségou, ouverte en 1999. Elle reçoit des élèves libres et des élèves « orientés » par l’Etat qui paye une pension de 35 000 Cfa par trimestre. Ils sont recrutés après le DEF. L’école prépare aux brevets de technicien : BT1 en 2 ans et BT2 en 4 ans, en agriculture et en élevage. Un élève sur trois est une fille. À la sortie, les diplômés sont embauchés dans des pharmacies vétérinaires ou dans des exploitations privées ou publiques.


Depuis 2011-2011, la Fondation y a placé 30 élèves, recrutés selon les critères de revenus communs à tous les recrutements de la Fondation.


En 2018-2019, aucun recrutement n’a été possible, l’Etat ayant cessé de placer dans l’école des jeunes « orientés », c’est à dire ayant coupé les subventions.

A la suite du rachat du CETI par l’Etat malien, monsieur Ladji Gakou a créé et construit une nouvelle école, le Centre de Perfectionnement Technique (CPT), qui donne des formations en alternance, beaucoup plus centrées sur la pratique. Les formations proposées dans le centre sont la maçonnerie, la peinture, la plomberie, le carrelage, la teinture, l’électricité, le solaire photo voltaïque, le froid climatisation. Ces formations modulaires s’adressent à des jeunes sans qualification ayant pour la plupart échoué dans la scolarisation classique.


Le programme très pratique des études a été conçu avec l’aide d’organismes internationaux français luxembourgeois et maliens : ID Sahel – Lux-développement – ORT Mondiale. Il comprend 30% de cours théoriques et 70 % de travaux pratiques effectués dans des entreprises. L’encadreur du chantier en cours rendant compte des résultats des apprentis au CPT. C’est une formation en alternance d’artisans qualifiés. Les études durent de trois mois à un an suivant les spécialités. Les jeunes formés reçoivent un diplôme d’Etat. Ils peuvent trouver un emploi salarié ou s’installer à leur compte.


Les 15 premiers élèves de l’année 2017-2018 ont tous trouvé du travail.


Avec la bourse mensuelle, la scolarisation d’un apprenti en formation professionnelle coûte 400€ et dure de 6 à 9 mois. Pour aider ces apprentis, faites un don !

Les infirmières

Les soeurs avec des infirmières


Le Centre Vicenta Maria, a été créé par des religieuses Espagnoles. Cette école accueille 600 jeunes femmes. Elles peuvent y entrer sur concours. Certaines d’entre elles sont encouragées par leur mari. Celles qui habitaient en brousse ont été accueillies en internat. La Fondation Leïla Fodil prend en charge celles qui, reçues au concours, ne peuvent pas payer les frais de scolarité. Elle leur donne une bourse mensuelle de 7 000Cfa.


Il y a trois degrés de formation :

  • La formation de technicien de santé. Depuis 2004, 70 jeunes femmes aidées par la Fondation ont obtenu la formation.
  • La formation d’infirmière Diplômée d’Etat. Commencée en 2014, 13 jeunes femmes aidées par la Fondation ont été diplômées.
  • Une formation de sage femme.


Avec la bourse mensuelle la scolarisation d’une élève infirmière coûte 448€ par an et dure 3 ans. Pour aider ces jeunes femmes et plus encore, faites un don !


Les couturières


Au Mali, la couture est traditionnellement faite par les hommes. Les tailleurs ont leur boutique. Ils exercent même en bicyclette, passant de maison en maison pour les petites réparations. La formation en coupe et couture proposée par les religieuses de Vicenta Maria a deux buts :

  • Elle permet aux femmes de se faire coudre des vêtements par des femmes.
  • La prise des mesures et les essayages sont plus facilement supportés.
Une apprenti couturière à la tâche


Ainsi, la mode se transforme. Les grands boubous amples, issus d’une seule pièce de tissu sont remplacés pour les fêtes par des robes moulantes.
Il est proposé aussi à ces jeunes femmes qui ont souvent dû interrompre leurs études de suivre une remise à niveau scolaire. Ces couturières deviennent aussi des conseillères pour les femmes de leur quartier. L’obtention du DEF a permis à certaines de poursuivre dans les études d’infirmière.
De 2006 à 2019, 60 couturières ont été formées. À la fin de leurs études, la Fondation Leïla Fodil leur a offert une machine à coudre à pédale.


Avec la bourse mensuelle la scolarisation d’une élève couturière coûte 265€ par an et dure 3 ans. Pour aider ces jeunes femmes et plus encore, faites un don !

Nous ne pouvons malheureusement pas accéder au Mali, à cause des restrictions mises en place par la France. Nous ne pouvons fonctionner et aider tous ces élèves grâce à nos correspondants sur place. Abdoulaye est le correspondant principal de la fondation à Ségou. Il est aidé par son épouse Rokia et son fils Salim. La majeure partie du travail d’Abdoulaye et de son équipe est le recrutement et le suivi des élèves. Les élèves sont recrutés selon un critère simple, l’extrême pauvreté de la famille. Nous vous racontons ici comment cela se passe. Vous verrez c’est un processus qui s’étale sur toute l’année scolaire !

Dès le début du mois de Juillet, les parents de jeunes enfants affluent au domicile d’Abdoulaye. Ils entrent et s’installent sous l’arbre. « Il est sorti. Nous allons l’attendre. » Et comme sa tournée se prolonge, ils attendent des heures durant.

Quand il est retourné, après que le manœuvre ait fermé le portail derrière l’auto et lui ait donné sa sacoche, ses épouses lui disent : « il y a des gens qui t’attendent ». « Que voulez-vous ? L’école pour notre dernier ». Il en vient tous les jours, à toutes les heures, car la pauvreté n’a pas encore abandonné la ville et l’on sait maintenant que les enfants peuvent aller dans de bonnes écoles grâce à la Fondation Leïla Fodil qui fait confiance à Abdoulaye pour le recrutement.

Abdoulaye recueille les informations servant au recrutement : patronyme, quartier, situation sociale. Très souvent la maman est seule, car le père est parti, est incapable ou handicapé ou mort. Les conditions de « recrutement » sont claires : la famille n’a rien. Il faudra le vérifier par une visite. Abdoulaye, Rokia, et Salim iront visiter chaque famille.

À la fin de l’été, il y a quelques centaines de demandes. Il faudra choisir. Quelle est la famille qui est le plus en difficultés, dans quelle école l’enfant sera-t-il embauché ? Quand la liste définitive est faite, une nouvelle visite précisera aux parents l’acceptation, les conditions qui devront être observées, dont l’essentielle est que l’enfant aille à l’école tous les jours.

Les directeurs des écoles qui les accueilleront sont rencontrés pour se mettre d’accord sur les conditions financières qu’ils exigent et aussi sur la nécessité de prêter une attention bienveillante à ces enfants différents des autres du fait de leur pauvreté et de l’inculture de leurs parents.

Au mois d’août aussi, on connaît les élèves qui passent en second cycle. Il faut qu’Abdoulaye intervienne auprès du CAP (Centre d’animation pédagogique), pour qu’ils soient dirigés vers une école secondaire publique de bon niveau. Il faut payer les frais de transfert, acheter et distribuer les fournitures scolaires qui leur seront nécessaires.

Le recrutement dans les écoles professionnelles a lieu à la même époque estivale :

  • Au centre Vicenta Maria, le recrutement est fait sur concours. La fondation propose  des candidates qui une fois admises ne pourraient pas payer leurs frais de scolarité.
  • Au CPT, le directeur et Abdoulaye s’entendent pour y accepter des élèves qui ne pourraient pas payer leurs frais de scolarité.

La rentrée s’est faite. Les élèves sont-ils tous présents ? Suivent-ils bien ? L’école délivre-t-elle les prestations promises ? Une visite dans chaque école est nécessaire. Il y en aura plusieurs pendant chaque trimestre : directeur, professeurs, chaque élève. Et cela dans chacune des écoles, maternelle, primaire, professionnelle où la Fondation soutient des élèves.

Chaque fin de mois il faut distribuer à chaque famille et chaque jeune étudiant la bourse de vie. Comme la banque ne donne pas les petits billets de 1 000 à 5 000 Cfa qui sont nécessaires, il faut faire la monnaie chez les commerçants et en particulier chez le marchand de produits de beauté.

Tout ce travail est varié, humain, social et doit être affectueux. Mais c’est harassant car les demandes quotidiennes, d’ordre social, sont incessantes.

Le volet social. Il y a des enfants qui ne se présentent pas à l’école. Il faut aller à la maison savoir pourquoi. Il y a des malades dont les parents demandent une aide pour payer les médicaments. Une crise de paludisme ne se solde pas à moins de 15 000 Cfa (23€). Mais il y a encore des accidentés, car maintenant que certaines rues sont goudronnées, les conducteurs roulent comme des fous. Des morts aussi. Abdoulaye est alors comme le chef de la famille. Il doit payer les soins avec le fonds spécial de secours santé donné chaque année par la Fondation. Avec les jeunes adolescents les problèmes de vie sont fréquents. Abdoulaye doit les régler avec fermeté, affection et douceur.


Pour qu’Abdoulaye et son équipe puissent continuer à aider les enfants à mener une scolarité digne, faites un don !

Ainsi, vous voyez combien les activités de nos amis sont nombreuses, variées et nécessitent de leur part une grande attention. Ils aiment ces enfants qui le leur rendent bien. Ils sont fiers de leur rendre le service inestimable de pouvoir, par leurs études « sortir » de la pauvreté à laquelle ils auraient été contraints.

Jusqu’à présent, Abdoulaye acceptait de recevoir tout le monde à n’importe quelle heure. Mais les épouses, les enfants, les serviteurs et lui-même en sont venus à ne plus supporter ces demandeurs qui devenaient des importuns. Abdoulaye ne pouvait plus les recevoir dans son salon ou sous la paillotte. Alors il a fallu créer un « bureau de la Fondation ». Une construction a été faite dans la cour. Un accès particulier. Abdoulaye peut y recevoir les parents. Il peut se retirer dans son bureau pour rédiger les papiers et les rapports à l’abri des intervenants qui savent cependant où il se trouve. Ce n’est pas le bureau d’une « grande ONG ». C’est un lieu d‘accueil simple et rationnel. Il y a aussi un logement pour les visiteurs. Ce pourra être les délégués de la Fondation venant de France ou bien des passants ou la famille en visite. Ainsi, la concession et la vie de la famille sont protégées.

Une question ?
Notre équipe se rend disponible pour vous répondre.