L’Algérie que j’aime

En 1959, fraîchement sorti du concours de l’Internat des Hôpitaux de Paris, Jean Bernard Joly découvrait l’Algérie. Médecin dans un poste militaire de la Demi Brigade de Fusiliers Marins, à Tient, tout près de Nemours (Ghazaouet maintenant), il était chargé des soins à la population rurale. Il a ainsi découvert l’immense pauvreté de la population. Il a aimé ces paysans âpres, courageux dans l’adversité supplémentaire de la guerre. Dans ce livre, il transmet son expérience, partagée par bien d’autres que lui, afin que les jeunes de maintenant sachent que la guerre d’Algérie ne fut pas que torture mais fut aussi parsemée d’actions d’amour.

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